Pèlerinage à Beauraing avec le Vicariat

Samedi 21 septembre, nous avons eu l’occasion de vivre une journée enrichissante à Beauraing. Notre aventure a commencé par un départ en car où l’excitation était palpable parmi les pèlerins.  Le trajet a été agréable avec de magnifiques paysages qui défilaient par la fenêtre nous mettant dans l’ambiance de cette journée prometteuse.

A notre arrivée à Beauraing, nous sommes allées voir un film à la crypte sur les apparitions de la Vierge au cœur d’or. Nous étions fort impressionnées d’entendre l’incrédulité de la part des scientifiques.  Lors de chaque apparition, les enfants tombaient à genoux sur les pavés sans qu’ils n’aient de blessures.  Les scientifiques en vinrent, lors d’une des apparitions , à scarifier les mollets des enfants, ainsi que de brûler leurs genoux avec une bougie sans qu’ils n’éprouvent aucunes douleurs, nous témoignait la dernière voyante en 2009. 

En 1949, l’Eglise reconnut le caractère surnaturel des apparitions mariales qui se sont déroulées entre le 29 novembre 1932 et le 3 janvier 1933 .

Au jardin, nous découvrons un magnifique lieu de recueillement, où chants et prières nous ont emportées. On nous explique que la Vierge est apparue la première fois à 5 enfants de deux familles dans un lieu de vie bruyant , agité, au-dessus d’un pont du chemin de fer. Pour ensuite apparaître à côté d’une aubépine, dans le jardin de l’école, située le long de la route principale du village très encombrée, très bruyante. Tout un symbole : telle est notre vie agitée mais où dans le silence de notre cœur on peut y trouver la paix par le biais de la prière et surtout en récitant le chapelet.

Dans la basilique, l’archevêque Luc Terlinden nous présente une méditation sur la prière – Comment prier ? Il a présidé également la messe où le sacrement des malades nous a été proposé. Le tout dans une atmosphère paisible et spirituelle nous offrant un moment de recueillement  et de réflexion , qui nous connecte à quelque chose de plus grand encore, nous avions l’impression de planer.

Sur le trajet du retour, notre attention était encore plus vive sur la nature qui nous entourait . Dieu a créé une magnifique végétation, les oiseaux qui volent au loin nous emportent dans de merveilleux souvenirs de cette journée de prières, de joies sans qu’on oublie tous ceux qui souffrent ainsi que les malades .

Nous remercions vivement notre Maître du Temps.

M., G., J.

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